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Tuesday, February 22, 2011

Communiquez avec le centre des ressources

veuillez noter que l'adresse du centre des ressources est centredesressources.wellcenter@gmail.com

Monday, February 21, 2011

Wheel of fortune / Roue de fortune

J'ai eu un appel de Mme Patricia Wild du programme Pheonix de l'institut Douglas, elle avait un urgent besoin d'une roue de fortune construite par notre atelier d'ebenisterie, un peu a la derniere minute. Nous avons reussit avec succes le projet, grace a l'aide de M. Francois Guay du programme interagir, qu'il m'a assiste a realiser la roue de fortune et gros merci a M. Barry Crago.

Roger Pigeon, formateur


I've got a call from Ms Patricia Wild from the Pheonix program at the Douglas institute. She had an urgent need of a wheel of fortune constructed by our wood shop at the last minute. We manage to succeed with the help of Mr Francois Guay from the interagir program. Mr. Guay assist me to finalize the well. Tanks to Mr Barry Crago.


Roger Pigeon, trainer

Wellington Centre Decision Making Committee


Wellington Centre Decision Making Committee



I am a member of the Decision Making Committee at the Wellington Centre. We started up last year in November, headed by Barry Crago, and assisted by Marcella Daniels, Paticia Kaouk, Frances Skerritt, and Lauren Palardy The rest of the committee is composed of members of the Wellington Center members of Les Impatients, and the like. We are: Laurence, Kenneth, Ryan, Sylvain, Anne, and I, Julia.

We consulted with a man named David Steiner from Yale University in the U.S. David has experience in community facilitation, organization, and social/ mental health issues. He benefitted us with dozens of charts so that we could organize our thoughts and clarify our agenda. By the end of April, we will have met him for 3 sessions of 2 consecutive days each since November. Thanks to Mr. Steiner, we got some valuable information about the coordination and solidification of our plans.

Some of the things we discussed and thusly organized were: a new resource centre, headed by Kenneth; the Wellington Sun, now headed by Alain Daigneault, a newly re-vamped Crafts Boutique, painting the foyer and installing art work, and building a plan for future computer use. We also want to paint the centre, in order to spruce it up. We are planning peer-support groups for help and support and are planning different activities like the fashion show, held last year. Also more outings and lots of other fun stuff.

The arts and crafts including ceramics, we decided, were something that was good about the center already, and that we would like to continue to support,

We are continuing our plans and request that you have patience for all the fun and wonderful things we are trying to put into action. The Wellington Centre will soon be a place where all will be welcome to come, relax and participate.

Le comité décisionnel du Centre Wellington.



Le comité décisionnel du Centre Wellington.



Je suis membre du comité décisionnel du Centre Wellington. Nous avons commencé nos réunions en novembre de l'an dernier. Le comité est présidé par Barry Crago et il est accompagné de Marcella Daniel, Patricia Kaouk et Frances Skerritt. Le reste du comité est composé de membres du centre Wellington et des Impatients et comprend Laurence, Kenneth, Ryan, Sylvain, Anne, Lorraine, et moi-même Julia.


Nous avons fait appel à un consultant nommé David Stayner de l'université Yale aux États-Unis. David a beaucoup d'expérience dans les organismes communautaires qui oeuvre dans la santé mentale.

Il nous a beaucoup aidé dans la création de paramètres afin de mieux organiser nos idées et notre agenda. De la fin novembre à la fin avril, nous l'aurons rencontré 3 sessions de 2 jours. Grâce à M. Stayner, nous avons pu amasser de l'information précieuse pour la coordination et la solidification de nos plans.


Quelques idées sont sorties de ces sessions et sont maintenant implémentées: un nouveau centre de ressources dirigé par Kenneth, le bulletin du Soleil de Wellington maintenant dirigé par Alain Daigneault, la boutique d'artisanat qui a été rénové, le rafraîchissement de la réception et de l'entrée du centre Wellington, l'installation d'œuvres d'art et un plan pour l'utilisation d'ordinateurs dans le futur.

On planifie aussi des groupes d'entraide et de soutien, l'organisation d'activités comme la parade de mode, des sorties et plusieurs autres initiatives.


Les ateliers d'art et de céramique sont reconnus comme étant des activités actives et populaires pour le centre. Elles auront encore notre soutien.


Nous allons continuer à planifier des activités et des nouvelles choses pour le centre et nous vous demandons de la patience pour les nouvelles opportunités qui vous seront offertes. Le centre Wellington sera bientôt une place où tout le monde sera le bienvenue et où il y aura des activités intéressantes pour tous.


Julia Kent


Glasses man

There’s a man named Phillip Rochette, an Opticien, who makes glasses for $20 (including lenses and frames). He makes them for everyone, including people on welfare. He charges you $20 after the amount that welfare provides. He provides the frames (has a good selection) and makes the lenses. I bought one new pair for $20, and they are delightful.If you want a specialty pair made he charges extra. For example: I got a pair made using my old frames, he charged me $70 plus $20 because the frames were more difficult to install. I also got a prescription pair of sunglasses fpr $30. Three pairs of glasses for $140, is a great deal.

You must provide the prescription, and he’ll do the rest. He provided all 3 pairs for me within 2weeks.

You can meet him at Chez Doris(downtown) at Projet Pal(in Verdun), and soon at Wellington Centre, as well at other locations. He is there at specified times.. He may also ask you to meet him at his home for payment,etc.

New glasses $20- flat rate.

www.bonhommealunettes.org phone# (514)303-4315

Ressaisissement

Ressaisissement


Le processus de récupération par Frances Skerritt, pair experte.


Qu'est-ce que le ressaisissement?


Il y a quelque chose qui me dérange propos de ce mot-mais qu'est-ce que c'est d'après vous?

Ce pourrais-ce qu'il y a des gens qui se l'approprient, le portent ou l'achètent?

Ce pourrais-ce que cet individu qui ne l'expérimente pas essaie d'avoir son droit d'auteur comme si c'était une pièce sur le marché ou un terrain?

Ou bien ce pourrais-ce que tous assument qu’ils sont un expert dans ce domaine. Seulement parce qu’ils l’ont lu ou l'ont étudié est-ce que ça fait de quiconque un expert parce que l'individu le met en pratique à chaque jour pour le restant de sa vie?


Je ne le sais pas.


Mais ce que j`ai réalisé avec le temps, c’est que seulement les individus qui vivent avec peuvent le définir. Chaque personne est le maitre et le contrôleur, tout comme le véritable auteur. Ils sont ceux qui ont l’expertise véritable et je pense même qu’ils peuvent vous dire, si vous écoutez, qu’il y a des milliers de version différente. Une expérience est aussi valide qu’une autre, qu’elle soit simple ou compliqué. L’autre chose que j’ai trouvé c’est que le processus du ressaisissement devient une histoire unique qui change avec le temps, comme l’individu éditera et rééditera ce qu’il croit être nécessaire dans leur processus de ressaisissement.


Alors quand vous revenez sur ce que j’ai originellement questionné, la réponse se trouve là : il n’y a pas qu’une réponse, mais une règle principale. Le ressaisissement doit débuter avec l’individu premièrement et nous somme supposé être là comme supporter et guide, seulement lorsque nécessaire.


Frances Skerritt, pair experte.

Recovery

Recovery

The processes of Recovery by Frances Skerritt, pair specialist


What is recovery?


Working with that word! something about that word bothers me, what is it?

Could it be that people act as if they own it, wear it, or can buy it?

Could it be that individuals who do not experience it try to stake claim to it, as if it were a piece of stock market, or a piece of land? Or could it be that everyone assumes that they are an expert in it. Because they have read or have studied it and for those reasons alone, would that make anyone more of an expert, than the individuals who have to put it into practice every day for the rest of there lives?


I do not know.


But what I have realised over time is that only the individuals who live with it can define it.

Each person is the master and controller, as well as the true story teller. They are the ones who are the true experts, and I think even they can tell you, if you are listening, that there are thousands of different versions of it. Ones experience is as valid as another, whether it is simple or complicated. The other thing I have found is that the process of recovery becomes a unique story that can change over time, as individual will edit and re-edit what they believe to be necessary in their recovery process.


So when you think back to what I originally questioned, the answer is there: there is no one answer, but there is a main rule. Recovery has to start from the individual first and we are supposed to be there as supporter and guides, only when needed.


Frances Skerritt, pair specialist

Laurent De Backer

(Né le11 juillet 1959 en France, à Creil près de Paris)

Laurent De Backer a vécu en Provence de 1967 à 1986 et a com-mencé à peindre dès 1974.

En 1986, il s’installe à Montréal, où il se con-sacre entièrement à la création.



«Laurent De Backer travaille à chacun de ses tableaux dans ce qu’il représente d’uni-que comme image et comme objet, alliant techniques anciennes et médiums contem-porains, animé par un soucis contant d’as-surer la pérennité de l’œuvre.»

M.C.

DRRRRRRRRRRRRRIIIIIIIIIIIINNNNNNNNNNNNGGGGGGGGGGG

DRRRRRRRRRRRRRIIIIIIIIIIIINNNNNNNNNNNNGGGGGGGGGGG


Auto portrait de Bertrand Poupart


Bonjour Centre Wellington !

Bertrand Poupart - comment puis-je vous aider?!

-oui, un moment je vous pris.

-Alors, comment trouvez-vous la chaleur de ma voix?!

-Vous vous demandez sûrement quel était cette voix (…) charmante que vous avez le plaisir d'entendre soit au téléphone soit à l'intercom?

-Et bien et bien me voici, me voilà, Bertrand Poupart pour vous servir.


Merci Alain pour tenir le journal.

Mental health

Mental health


A testimony


In mental health, from denial to acceptation, days can pass, weeks, months, even years. In 2007, I made two visits in Burgess, twenty one days each, approved by the Administrative Court over medical recommendation. I will not mention the exact situations, psychotics, habits, that led me to the Douglas!


My first bipolarity diagnosis has been established by three doctors at the St-Hyacinthe hospital in 2002.

The Administrative Court, under my ex girlfriend's advice, my sister and my brother in law supported the internment prescribed by the judge.


I was embittered. On the walls of the department, I saw pieces of writing that did not exist and that was there for my vision, my delirium, my psychosis. I showed nicely to the psychiatry department, I am cheerful naturally, but really, I was bitter even though something had overpass my mind. My habit have had me penetrate an abnormal hell, attractive, scary and worrying all together. A superman going through centuries, infinitely small, infinitely tall!


The pretzel that almost stifled Georges W Bush, it was my fact in the night awakened in a state of mania. The day after, he suffocated for real. Insomniac at night, I was tracking down Ben Laden. I have gotten the right to a thousand spell, visual and sonic hallucinations, burst of laugh, near dementia.


I have remained in a state of mania and psychosis during the whole sojourn. However, it is clear that if I did not admit the bipolar diagnosis, I would not get out of that hospital. I decided to accept the medication but I was playing their game. I started to take lithium and little by little, I have got the right to one or two hour exits, alone and free. Cinema, walk and finally the psychiatrist decided to enlarge me.


My girl friend had decided that our couple life was over. I left Monteregie to return live in Montreal. My son that was affected of cancer as he lived with his mother in France and with us since two years stayed with her until I could settle conveniently in Montreal.


Two month later we settled in the Cote des Neiges neighbor, with a health follow up at the Ste Justine hospital. Yet, my remission did not last and the cancer came back. A hellish struggle, again chemotherapy, other surgeries; in all in France and in Canada, near fifteen surgical interventions and as much chemotherapies.


We say that hope makes living! And we hoped. We hoped until the end! Meanwhile, a support for her beloved child, her mother had come from France and she lived with us. We had reconstruct, in a way, the family nucleus, from before her departure for France with our son and our divorce.


We had to be strong, bipolarity was far from my concerns, but I was following the medication. And every day almost we went to Ste Justine, for testing, examining, consultations, radio, IRM, scanner, chemotherapy, psychological assistance, blood test and heavy long hours of waiting in the corridors, until the day where he entered definitely to the hospital.


It was inconceivable for me to look for a job in these conditions. But when her mother arrived from France to help him, the Saco witch I was part of as an international volunteer counselor was suggesting me to give, because of my experience on the field, a lesson of intercultural cooperation and level 1 and 2 of Spanish class, witch allowed me to deepen my Spanish talk. Moreover, I obtained a college study attestation (AEC). These few hours of preparation and study allowed me to forget the scariness from witch I was facing: sickness... and death.


His sickness and mine. After six years of a titanic fight against cancer, he yielded one night of full moon. Numb, emptied, sensing nothing, it is only two months later that I snivel regularly all the time.

The fall to hell remained four years with ups and downs, alcohol and soberness, and finally the Douglas twice and a psychiatric and psychological follow up that still stand today.


I would not say that I am completely restored. But I progress. I am part of the impatients workshop, I expose, I write and with my IPS coach from the Wellington Center, Martine Clabrese, we look for a job, I am involved, I participate, I meet people, I keep in touch with friends and family. Not to forget that I am second president of the Beneficiary Comity of the Douglas Hospital. The files over witch we deal with hold much a social involvement beside the patients, residents and beneficiaries of the Douglas Hospital and its affiliations as for example the Wellington Center.


Finally, mental health, it heals itself, it cultivate itself. For me, it relieves me.


Jancy Bolté

Santé mentale

Santé mentale

Un témoignage.

En santé mentale, du déni a l’acceptation, il peut se passer des jours, des semaines, des mois, voir même des années. En 2007, je fis deux séjours au Burgess 1 de vingt et un jour chacun, approuvés par le tribunal administratif sur recommandation des médecins. Je ne mentionnerai pas les circonstances exactes, psychotiques, les manies, qui me conduisirent au Douglas!

Mon premier diagnostic de Bipolarité a été établi par trois médecins à l’hôpital de St-Hyacinthe en 2002. Le Tribunal administratif, sur les recommandations de mon ex blonde, ma sœur et mon beau frère appuyèrent l’internement prescrit par le juge.

J’étais aigri. Sur les murs du département, je voyais des écrits qui n’existaient pas et qui n’étaient la que pour ma vision, mon délire, ma psychose. Je montrais bonne figure au département de psychiatrie, je suis d’un naturel enjoué, mais dans le fond je leur en voulais a tout quoique sachant que quelque chose m’avait dépassé. La manie m’avait fait pénétrer dans un infernal pas banal, attirant, effrayant et inquiétant tout a la fois. Surhomme traversant les siècles, infiniment petit, infiniment grand!

Le bretzel qui avait failli étouffer Georges w Bush, c’était mon fait dans la nuit é veillé en état de manie. Le lendemain, il s’étouffait en vrai. Insomniaque la nuit, je traquais Ben laden .J’eu doit a mille sortilèges, hallucinations visuelles et sonores, fou rire, proche de la démence...et j’en passe.....

Je suis resté en é tat de manie e t de psychose pendant tout le séjour. Mais il était clair que si je n’admettais pas le diagnostic Bipolaire, je ne sortirais de cet hôpital. Je décidai d’accepter la médication mais je jouais le jeu. Je commençai a prendre du lithium et petit a petit j’eu dois a des sorties d’une heure ou deux seul, libre. Cinéma, promenade et enfin les psychiatres décidèrent de m’élargir.

Ma blonde avait décidé que notre vie de couple était terminée. Je quittai la Montérégie pour retourner vivre à Montréal. Mon fils qui était atteint du cancer alors qu’il vivait avec sa mère en France et avec nous depuis 2 ans resta avec elle d’ici a ce que je puisse m’installer convenablement a Montréal.

Deux mois plus tard nous nous installions dans le quartier Cote des Neiges, avec le suivi de sa santé a l’hôpital Ste Justine. Mais voila, la rémission ne dura pas et la cancer revint. Une lutte infernale, encore de la chimiothérapie, d’autres chirurgies en tout en France et au Canada près de quinze interventions chirurgicales et autant de chimiothérapie.

On dit que l’espoir fait vivre! Et bien on espérait. On espéra jusqu'à la fin! Entre temps, support pour son fils adoré, sa mère était venue de France et elle habitait avec nous. Nous avions reconstitué, en quelque sorte le noyau familial d’avant son départ pour la France avec notre fils et notre divorce.

Il fallait être fort, la bipolarité, était loin de mes préoccupations, mais je suivais la médication. Et tous les jours ou presque nous allions à Ste Justine, pour des tests, des examens, des consultations, radio, IRM, scanner, chimio, assistance psychologique, prise de sang, et de pénibles longues heures d’attente dans les corridors, jusqu’au jour ou il entra définitivement a l’hôpital pour ne plus en ressortir.

Il était inconcevable pour moi de chercher du travail dans ces conditions. Mais lorsque sa mère arriva de France pour l’épauler, le Saco dont je fais parti en tant que conseiller volontaire international me proposa de donner, vu mon expérience sur le terrain, un cours sur l’étude du milieu. J’en profitai pour suivre des cours de coopération interculturelle et des cours d’espagnol de niveau 1 et 2, ce qui me permit d’approfondir mon parler Hispanique. De plus j’obtins une attestation d’étude collégiale AEC. Ces quelques heures de préparation et d’études me permirent d’oublier la peur sourde à laquelle j’étais confronté, c'est-à-dire, la maladie … et la mort!

Sa maladie et la mienne. Après six ans d’un titanesque combat contre le cancer, il succomba un soir de pleine lune. Hébété, vidé, ne ressentant rien, ce n’est que deux mois plus tard que je mis à chialer comme un veau, r régulièrement, tout le temps. La descente aux enfers dura quatre ans avec des hauts et des bas, alcool et sobriété, et finalement le Douglas a deux reprises et un suivi psychiatrique et psychologique qui se poursuit encore aujourd’hui.

Je ne dirais pas que je suis complètement rétabli. Mais je progresse. Je fais partie des ateliers des Impatients, j’expose, j’écris, avec mon coach de l’IPS du Centre Wellington(Douglas), Martine Calabrese, nous, me cherchons du travail, je m’implique, je participe, je rencontre des gens, je garde le contact avec les amis, la famille. Sans oublier que je suis co-président du Comité des bénéficiaires de l’Hôpital Douglas. Les dossiers sur lesquels nous nous penchons tiennent beaucoup d’une implication sociale forte auprès des patients, résidents, bénéficiaires de l’hôpital Douglas et de ses affiliations comme par exemple le Centre Wellington.

Enfin la santé mentale ça se soigne, ça se cultive. Moi, ca me rassure.


Jancy Bolté

Le temps

Le temps



De l'infiniment petit a l'infiniment grand

Ne serait-ce que pour un instant,

Vivre le moment présent,

Pour savourer un plein moment


Ce moment est compté pour chaque instant,

Vivre cet instant en se réjouissant,

D'un bonheur consumé,

Vivre d'année en année


Ne pas rester connecté à la promiscuité

Mais consumer toujours l'oxygène à proximité,

Marcher dehors, changer, foncer

Changer pour évoluer


Évoluer pour se réaliser, s aimer,

S'aimer, aimer et être aimé,

Du premier au dernier,

Et du dernier au premier.


Quand serai-je le premier ou le dernier?

Peu m'importe car pour le moment,

Je suis aimée

Ce qui m'aide à m'aimer.


Nathalie Séguin

19 novembre 2010

Espaces

Espaces


Espaces du temps, espace d'un moment.

Moments de dégoût, moments que l'on savoure,

Moments rationnels, moments exceptionnels ou exponentiels,

Espaces, espace infini, temps ébloui.


Vivre, vivre au jour le jour, vivre pour un jour,

Perceptions d'un moment, perceptions d'une vie,

Perceptions altérées, perceptions diffusées,

Vivre pour ou contre soi, vivre pour l'environnement


Environnements, environnements actuels, environnements

passés,

École, école d'une vie, école rattrapée,

Où trouverais-je le temps de me rattraper

(École pour écoliers),

Temps infini, temps mesuré


L'infini d'un moment, d'un moment de bonheur,

Ne dure qu'un instant, qu'un instant à la montre,

La mesure du temps, du temps d'un passant,

Rimes avec le présent, le présent d'un instant.


Nathalie Séguin

27 octobre 2010

Mot d’un enseignant

Mot d’un enseignant,

Je tiens tout d’abord à remercier M. Yves Dumouchel, usager en ébénisterie et inscrit en ISP, pour l’immense créativité et la persévérance dont il a fait preuve durant les quelques semaines qui ont mené à la réalisation de ce projet. Yves, tu travailles ton art avec une spontanéité telle que les résultats sont parfois stupéfiants, voir surprenants!

Ce projet supervisé par Michel Ouellet est d’abord né d’une collaboration entre l’atelier d’ébénisterie, M. Pigeon (pour l’étape des vernissages) et des Impatients, Elmina et France-Andrée (pour le soutien artistique et technique) Sans oublier la participation de Pierre Bellemarre lors de l’achat du matériel et des bandes dessinées.

Chacune des trois tables a un thème :

(1) L’environnement, réalisé par Luc-Maurice Lauzon, Carol Gregory.

(2) « 1900-1920 » et (3) la Renaissance, réalisées par Yves Dumouchel avec l’appui et le soutien technique de son enseignant M. Ouellet.





Voici les étapes de réalisation de ce projet :

  1. Préparer la surface de la table en la ponçant (sablage manuel);

  2. Choisir une ou des bandes dessinées usagées dans les bouquineries du coin (pas cher $ puisque vous allez les découper);

  3. S’appliquer à découper ce qui vous semble intéressant (S’appliquer sur l’esthétique de présentation (avoir un thème), construction d’une unité d’ensemble);

  4. Procéder au collage (montage, superposition des images, etc.);

  5. Vernir (appliquer au moins 6 à 8 couches minces de vernis au latex brillant. Il n’est pas recommandé de sabler entre les couches car il y a risque d’abîmer les images;

  6. Ainsi, une table qui au départ présentait un air anodin peut se voir transformée en accessoire à la fois utile aussi bien que décoratif.

Encore une fois Merci Yves Dumouchel, Luc-Maurice Lauzon, Carol Gregory de votre participation!


Michel Ouellet,

Venez visiter Christian

Venez visiter Christian au centre des Ressources du rez-de-chaussé


Alain questionne Christian sur la réouverture du centre des ressources


Alain : Salut Christian, quel-est ton rôle au centre des ressources ?


Christian : j'agis comme un agent d'information, les gens du centre peuvent venir me voir pour obtenir des informations, des renseignements ou des références.


Alain : mais qu'est-ce au juste qu'un centre des ressources ?


Christian : C'est un endroit où tous les gens du centre peuvent s'informer sur mille et un sujet. Les gens peuvent se renseigner sur les ressources communautaires du Sud-Ouest ou de Montréal, des lois et des services qui concernent la sécurité sociale, les ressources en santé, les ressources en mieux-être, les organismes en loisir, en sports, en art, dans le domaine de l'aide alimentaire ou de l'aide vestimentaire, etc. Demandez moi n'importe quoi ou presque....Il s'agit de référer les gens à l'organisme qui est capable de répondre à leurs besoins.


Alain : Christian, peux-tu être plus précis ?


Christian : par exemple, un usager du centre a besoin d'une information précise, quels sont les organismes qui peuvent répondes aux questions sur les droits et recours comme bénéficiaire de la sécurité du revenu.

Je fais alors une recherche et je réponds aux clients.


Alain : Christian, est-ce que le Centre des ressources offrira d'autres services ?


Christian : oui, pour les gens qui le désire, ils peuvent visiter le centre, il y aura des dépliants et des brochures disponibles sur vraiment beaucoup de sujet de ressources et d'organismes.


Alain : merci Christian.




Say Hello to Christian at the Resource Center on the main floor


Alain ask questions to Christian about the reopening of the Resource Center.


Alain, Hello Christian, what is your function at the Resource Center ?




Christian : I'm acting as an information agent. People from the center can come to see me to obtain informations or references.


Alain : but what is a resource center exactly?


Christian : it's a place where the center users can obtain information about almost everything. People can get information upon the South-West community resources or from Montreal, the laws and services concerning social security, resources in health, resources in well being, leisure organisms, sports, art, in the area of food bank or clothing help, etc. Ask me for anything almost... It`s about to refer people to the organism that is able to respond to their needs.


Alain : Christian, could you be more precise ?


Christian : for example, a user need a precise information, what are the organisms that can answer questions on the rights and resorts as an income security beneficiary.

I then make a research and I answer the clients.


Alain : Christian, does the Resources Center will offer other services ?


Christian : yes, for the people that want, they can visit the center, there will be leaflets and booklet available on many subject of resources and organisms.


Alain : thanks Christian.