By Alain, Christian and Simone
On a beautiful spring day, Wednesday April 6th 2011, more than 70 people from the Wellington Center tasted really good maple products. Christian preferred the pancakes, Simone liked the sugar pie and Alain loved the taffy. We also took advantage of the nature all around.
That day was joyfull. Imagine the Wellington Center Closed for a whole day! All the staff, the teachers, Barry, Céline and all the members of the Wellington Center were present and got to share in the fun.
We would like to thank Barry Craigo for the marvelous financial contribution. There was tremendous interest for this activity. It is therefore money well spent. Going to the sugar shack at such an affordable price was much appreciated. We would like to note the enormous effort of Nicole Andrée Gay for organizing all the details of this event. Thanks Nicole Andrée for your vision and your dedication; the success of that day is due to you.
Many members were distraught when they saw the school bus, rented for the occasion, go down the parking lot incline by itself. Many of our members were on board, the bus driver was not on the bus at the time . Sylvain Leduc was boarding at the same time, he felt the bus roll forward and had the reflexes to jump in the driver’s seat to apply the brakes, thus avoiding a disaster. It seems that the hand brake was broken.
Thanks to Sylvain for his quick thinking, the day ended successfully.
Thursday, May 12, 2011
Une journée à la cabane à sucre
Par Alain, Christian et Simone
Par une belle journée de printemps, mercredi le 6 avril 2011, 84 personnes du centre Wellington ont pu goûter au bon produit de l’érable. Christian a préférer les crêpes, Simone la tarte au sucre et Alain a raffolé de la tire. Nous avons également profité un temps soit peu de la nature.
Cette journée fut très agréable. Imaginez le centre Wellington fermé toute une journée. Tout les intervenants, les enseignants, Barry, Céline et tout les membres du centre Wellington ont su se laisser aller dans le plaisir. Nous aimerions remercier Barry Craigo pour la contribution financière du centre. Il y a eu un intérêt marqué pour cette activité. C’est donc «de l’argent bien placé». Aller à la cabane à sucre à un prix aussi abordable fut très apprécié. Notons l’apport de Nicole Andrée Gay pour la prise en charge de l’événement. Elle s’est occupé de tout les détails de l’organisation jusqu’à sa réussite. Merci Nicole Andrée pour ta vision et ton dévouement, le succès de cette journée est un peu le tien.
Lors de cette journée, plusieurs personnes ont vécu des émotions fortes. En effet, nous avons vu l’autobus scolaire, loué pour l’occasion, descendre d’elle même la pente du stationnement entraînant avec elle plusieurs de nos membres à bord. La conductrice de l’autobus n’étant pas à bord, Sylvain Leduc pénétrant dans l’autobus au même moment, sentant l’autobus rouler vers l’avant, a eu le réflexe d’occuper le siège du conducteur et d’appuyer sur le frein de l’autobus jusqu’à l’arrivé de la conductrice. Il semblerait que le frein à main de l’autobus s’était brisé n’immobilisant plus l’autobus. Nous croyons que l’intervention de Sylvain Leduc a permis d’éviter de nombreux problèmes tel qu’une collision possible de l’autobus ou des blessures parmi nos membres.
Merci à Sylvain pour sa diligence.
Par une belle journée de printemps, mercredi le 6 avril 2011, 84 personnes du centre Wellington ont pu goûter au bon produit de l’érable. Christian a préférer les crêpes, Simone la tarte au sucre et Alain a raffolé de la tire. Nous avons également profité un temps soit peu de la nature.
Cette journée fut très agréable. Imaginez le centre Wellington fermé toute une journée. Tout les intervenants, les enseignants, Barry, Céline et tout les membres du centre Wellington ont su se laisser aller dans le plaisir. Nous aimerions remercier Barry Craigo pour la contribution financière du centre. Il y a eu un intérêt marqué pour cette activité. C’est donc «de l’argent bien placé». Aller à la cabane à sucre à un prix aussi abordable fut très apprécié. Notons l’apport de Nicole Andrée Gay pour la prise en charge de l’événement. Elle s’est occupé de tout les détails de l’organisation jusqu’à sa réussite. Merci Nicole Andrée pour ta vision et ton dévouement, le succès de cette journée est un peu le tien.
Lors de cette journée, plusieurs personnes ont vécu des émotions fortes. En effet, nous avons vu l’autobus scolaire, loué pour l’occasion, descendre d’elle même la pente du stationnement entraînant avec elle plusieurs de nos membres à bord. La conductrice de l’autobus n’étant pas à bord, Sylvain Leduc pénétrant dans l’autobus au même moment, sentant l’autobus rouler vers l’avant, a eu le réflexe d’occuper le siège du conducteur et d’appuyer sur le frein de l’autobus jusqu’à l’arrivé de la conductrice. Il semblerait que le frein à main de l’autobus s’était brisé n’immobilisant plus l’autobus. Nous croyons que l’intervention de Sylvain Leduc a permis d’éviter de nombreux problèmes tel qu’une collision possible de l’autobus ou des blessures parmi nos membres.
Merci à Sylvain pour sa diligence.
Élargie notre territoire.
En tête le troupeau.
Étends ta main.
Bénis par tes pieds.
Par ta voix tu pourvoies et pour ta voie, je veux.
Ton troupeau en tête, j’entrevois.
J’entre entre tes voies, j’avoue ma joie. Je jongle en tâtonnement. J’écris au noir, je travail au clair.
Silence dans la salle. Solitaire en prière et en cavale d’écriture d’action, je couraille au clair et j’inscris en privé. Les dunes lunaires m’attirent et les rayons puissants me font gémir. Que dire du soleil levant ? Devant quelle brute je me tiens ? Est-ce des buttes de sables ou des pierres de mer ?
Garde-moi comme une miche de pain. Ne me laisse pas sécher. Couronne-moi comme un marathonien du pouvoir. Une marionnette à la tête d’une super puissance, c’est comme une symphonie pour clarinette. C’est le mouvement des émotions et les éclats très nets qui puisent du troupeau une linéarité au fil du temps. Ces fils du tout-puissant synchronisent leurs becs rythmiquement parlant avec un anneau au pied, un morceau de pain à la paume et surtout, le bout de la canne du chef plein les paupières. Tel est l’âme qui orchestre la garde du prochain train qui mijote le couronnement des bagages du terminus protégé d’emblée.
L’affiche, je m’en fiche. C’est fichu ces foutus supports sans remords de conscience. À quoi bon la voiture linéaire sur une voie contrôlée et trafiquée de panneaux paumé ? À quand la voiture à ouverture boréale ou à pénétration sismique? Je veux rouler mon char cosmique à travers les mimiques ironiques et les extrémités de la girouette humaine. Ce que je veux afficher, ce sont mes affirmations confessionnelles sur l’implosion des divergences de la foi Christianique hors empirique et mon allégeance tridimensionnelle. Ma multi-nominalitée triniterrienne est vouée à une mission charismatique postmoderne sans équivoque ni équinoxe non polarisée. Elle engendrera une cosmo- diffusion de la connaissance d’une communication directe avec le Saint des saints esprits de visions. Quand le concept de la croix sera maîtrisé humainement par la masse énergétique collectivement polarisée, les puissances des ténèbres retourneront poussière et l’âme humaine engendrera le processus d’ascension et d’auto-guérison supra corpusculaire.
Alain Daigneault
Étends ta main.
Bénis par tes pieds.
Par ta voix tu pourvoies et pour ta voie, je veux.
Ton troupeau en tête, j’entrevois.
J’entre entre tes voies, j’avoue ma joie. Je jongle en tâtonnement. J’écris au noir, je travail au clair.
Silence dans la salle. Solitaire en prière et en cavale d’écriture d’action, je couraille au clair et j’inscris en privé. Les dunes lunaires m’attirent et les rayons puissants me font gémir. Que dire du soleil levant ? Devant quelle brute je me tiens ? Est-ce des buttes de sables ou des pierres de mer ?
Garde-moi comme une miche de pain. Ne me laisse pas sécher. Couronne-moi comme un marathonien du pouvoir. Une marionnette à la tête d’une super puissance, c’est comme une symphonie pour clarinette. C’est le mouvement des émotions et les éclats très nets qui puisent du troupeau une linéarité au fil du temps. Ces fils du tout-puissant synchronisent leurs becs rythmiquement parlant avec un anneau au pied, un morceau de pain à la paume et surtout, le bout de la canne du chef plein les paupières. Tel est l’âme qui orchestre la garde du prochain train qui mijote le couronnement des bagages du terminus protégé d’emblée.
L’affiche, je m’en fiche. C’est fichu ces foutus supports sans remords de conscience. À quoi bon la voiture linéaire sur une voie contrôlée et trafiquée de panneaux paumé ? À quand la voiture à ouverture boréale ou à pénétration sismique? Je veux rouler mon char cosmique à travers les mimiques ironiques et les extrémités de la girouette humaine. Ce que je veux afficher, ce sont mes affirmations confessionnelles sur l’implosion des divergences de la foi Christianique hors empirique et mon allégeance tridimensionnelle. Ma multi-nominalitée triniterrienne est vouée à une mission charismatique postmoderne sans équivoque ni équinoxe non polarisée. Elle engendrera une cosmo- diffusion de la connaissance d’une communication directe avec le Saint des saints esprits de visions. Quand le concept de la croix sera maîtrisé humainement par la masse énergétique collectivement polarisée, les puissances des ténèbres retourneront poussière et l’âme humaine engendrera le processus d’ascension et d’auto-guérison supra corpusculaire.
Alain Daigneault
Flowers
By Barbara Jean Simpson
Flowers
Bloom
in Spring
and the first day
of Spring
the snow melts
on the ground
and beauty
is all around
Suzette Andrew
You see it
in the petals
You see it
in the Green Grass
and you see it
in the Reds and Pinks
You see it
in the changing
of the Seasons
and it changes everything
New Buds
and the continuing
of everything
in Modern Renewal
of a Brand
New
Day!
Flowers
Bloom
in Spring
and the first day
of Spring
the snow melts
on the ground
and beauty
is all around
Suzette Andrew
You see it
in the petals
You see it
in the Green Grass
and you see it
in the Reds and Pinks
You see it
in the changing
of the Seasons
and it changes everything
New Buds
and the continuing
of everything
in Modern Renewal
of a Brand
New
Day!
Le jugement dernier
Par Jancy Bolté.
D’entrée de jeu, je vous le dis, je vous l’assure, il n’y a jamais eu et il n’y aura de jugement dernier.
L’homme fantasme, Dieu sourit. Que voulez-vous juger, les imperfections de l’homme ou les égarements de Dieu.
Satan a inventé, la plus sublime des anecdotes. Il n’existe pas et dieu est partout. L’ombre et la lumière.
Le jour où je le vis entrer dans ma poissonnerie, je sus que l’Haïtien errant existait, qu’il était le juif cordonnier. Le Chinois de la soie.
Thaïlandaise, l’Éternel vivant, celui qui n’avait pas le loisir de la mort pour se purifier et revenir neuf, sans mémoire d’aucun passé. Se souvenir depuis dix mille ans, 40 millions d’années, qu’importe. La mort avait été un choix de purification, pour oublier, ne plus subir les revers du remords.
La vitesse de l’éternel, la vitesse de la lumière, ça va vite dans ta tête de dire le psychiatre qui en est à sa première vie. Mais voyons, ne riez pas, ce sont des gens sérieux.
Ils ne pensent qu’à notre bien-être, nous qui faisons semblant de mourir. Chercher de nouveaux habits, papiers. Une identité toute bureaucratique, somme toute chancelante à force d’errance.
Oublier, oublier, ne vivre que l’instant qui se présente par un clin d’oeil, un éclat de voix, une autre errance qui reconnait l’élimé de la pièce. Il y a des choses que je ne saurais dire même dans une dictée pareille. Mais que je vous laisse le soin de deviner vous l’haïtien errant, celui qui a compris les turpitudes de la vie du mortel et qui par compassion choisit d’oublier autant que faire se peut. Cette goutte d’amertume qui brunit les lèvres comme un mauvais café prit en hâte sur la terrasse d’un café glauque.
L’amour aura toujours ce goût de miel et d’ambroisie, suave et amer, âpre et salvateur. Parlant d’amour, Sarah Anaïs revenait sereine comme une fée des bois qui revient vers une vie citadine pour retrouver un semblant d’éternité à travers la mort.
Patrice avait déjà 150 ans. Anaïs l’avait reconnu d’un passé lointain. Il voulait fuir, elle refusait, l’avait suivit jusqu’à cette ruelle de Jérémie délabrée à souhait. Elle le coinça sous un portique et l’appela par son nom innommable.
-Ah dit il.
-Tu n’es pas là pour rien, dit-elle
Il ne répondit pas, mais son monologue continuait de plus belle, aucun jugement dernier, foi de Judas. Il réussit quand même un furtif sourire.
Et toi !
Pour les mêmes raisons que toi! Le temps est venu de nous marier encore une fois. J’attends de toi deux enfants et ensuite l’éternelle immortalité pour nous tous.
Ah! Ce Ah! Réponse à tout
Tu es prêt à me suivre sur cette carte postale qu’est Haïti.
D’entrée de jeu, je vous le dis, je vous l’assure, il n’y a jamais eu et il n’y aura de jugement dernier.
L’homme fantasme, Dieu sourit. Que voulez-vous juger, les imperfections de l’homme ou les égarements de Dieu.
Satan a inventé, la plus sublime des anecdotes. Il n’existe pas et dieu est partout. L’ombre et la lumière.
Le jour où je le vis entrer dans ma poissonnerie, je sus que l’Haïtien errant existait, qu’il était le juif cordonnier. Le Chinois de la soie.
Thaïlandaise, l’Éternel vivant, celui qui n’avait pas le loisir de la mort pour se purifier et revenir neuf, sans mémoire d’aucun passé. Se souvenir depuis dix mille ans, 40 millions d’années, qu’importe. La mort avait été un choix de purification, pour oublier, ne plus subir les revers du remords.
La vitesse de l’éternel, la vitesse de la lumière, ça va vite dans ta tête de dire le psychiatre qui en est à sa première vie. Mais voyons, ne riez pas, ce sont des gens sérieux.
Ils ne pensent qu’à notre bien-être, nous qui faisons semblant de mourir. Chercher de nouveaux habits, papiers. Une identité toute bureaucratique, somme toute chancelante à force d’errance.
Oublier, oublier, ne vivre que l’instant qui se présente par un clin d’oeil, un éclat de voix, une autre errance qui reconnait l’élimé de la pièce. Il y a des choses que je ne saurais dire même dans une dictée pareille. Mais que je vous laisse le soin de deviner vous l’haïtien errant, celui qui a compris les turpitudes de la vie du mortel et qui par compassion choisit d’oublier autant que faire se peut. Cette goutte d’amertume qui brunit les lèvres comme un mauvais café prit en hâte sur la terrasse d’un café glauque.
L’amour aura toujours ce goût de miel et d’ambroisie, suave et amer, âpre et salvateur. Parlant d’amour, Sarah Anaïs revenait sereine comme une fée des bois qui revient vers une vie citadine pour retrouver un semblant d’éternité à travers la mort.
Patrice avait déjà 150 ans. Anaïs l’avait reconnu d’un passé lointain. Il voulait fuir, elle refusait, l’avait suivit jusqu’à cette ruelle de Jérémie délabrée à souhait. Elle le coinça sous un portique et l’appela par son nom innommable.
-Ah dit il.
-Tu n’es pas là pour rien, dit-elle
Il ne répondit pas, mais son monologue continuait de plus belle, aucun jugement dernier, foi de Judas. Il réussit quand même un furtif sourire.
Et toi !
Pour les mêmes raisons que toi! Le temps est venu de nous marier encore une fois. J’attends de toi deux enfants et ensuite l’éternelle immortalité pour nous tous.
Ah! Ce Ah! Réponse à tout
Tu es prêt à me suivre sur cette carte postale qu’est Haïti.
It’s the month of May
By Bertrand Poupart
It’s the month of May and it’s the month of the husbands... abundant flowers are everywhere. It’s also Mother’s day, Patriots day as well as Dollars…
So it’s a beginning for everyone to express themselves, keep their promises and to get an appointment. I wish you rejuvenation and goodies to prepare for a nice casual summer. I hope that you will anticipate the arrival of freshly planted crops. Know the freshness of the food.
So when is the Party?!
It’s the month of May and it’s the month of the husbands... abundant flowers are everywhere. It’s also Mother’s day, Patriots day as well as Dollars…
So it’s a beginning for everyone to express themselves, keep their promises and to get an appointment. I wish you rejuvenation and goodies to prepare for a nice casual summer. I hope that you will anticipate the arrival of freshly planted crops. Know the freshness of the food.
So when is the Party?!
C’est le mois de mai
Par Bertrand Poupart
C’est le mois de mai et c’est le mois de maris… les fleurs abondantes sont partout. C’est aussi la fête des mères et celle des Patriotes ainsi que celle de Dollars…
Alors c’est un début à tous pour promouvoir vos ébats, promesses et d’obtenir vos rendez-vous. Je vous souhaite du renouveau et de bonnes choses à préparer pour passer un bel été des plus décontracté. J’espère que vous préviendrez la perte de denrées. Connaissez la fraîcheur des aliments.
À quand est-ce le party?!
C’est le mois de mai et c’est le mois de maris… les fleurs abondantes sont partout. C’est aussi la fête des mères et celle des Patriotes ainsi que celle de Dollars…
Alors c’est un début à tous pour promouvoir vos ébats, promesses et d’obtenir vos rendez-vous. Je vous souhaite du renouveau et de bonnes choses à préparer pour passer un bel été des plus décontracté. J’espère que vous préviendrez la perte de denrées. Connaissez la fraîcheur des aliments.
À quand est-ce le party?!
Circuit Art et Culture Verdun
Par Alain Daigneault et Christian Ducasse
Valérie Lamirande, artiste verrier est venue nous parler du Circuit Arts et Culture de Verdun. Cette activité aura lieu du 1er au 30 juin 2011, dans l’arrondissement Verdun. Le Centre Wellington sera fortement impliqué durant cette période: il y aura une exposition des oeuvres des impatients du Centre Wellington à l’espace 107. Des artistes peintres et photographes de l’arrondissement Verdun, exposeront au rez-de-chaussé du Centre Wellington. Cette section du centre sera baptisé pour l’occasion «Corrid’art». Laurent de Backer, membre du centre, sera artiste invité dans le Circuit Arts et Cultures de Verdun. Il exposera ses oeuvres chez IKRA. Un vernissage se tiendra Mercredi le 4 juin 2011. Le 3 juin 2011, notre Centre sera le théâtre du vernissage de l’événement : «Impatients» de l’espace 107 et de l’inauguration officiel du : «Corrid’art» en présence des invités d’honneur :M. Roger Sylvain, membre de l’union des artistes et Mme Miriane M., artiste peintre. Le 4 juin aura lieu la grande ouverture qui se passera pendant la vente trottoir sur la rue Wellington en face de l’église Notre-Dame des Sept Douleurs. Un rassemblement d’artistes et d’artisans dont le peintre le plus rapide au monde André Roger à 14h parrainé par Empreinte d’artistes. Les 4,5,11,12 et 18-19 juin aura lieu Art en Direct chez 7 commerçants (un dépliant sera disponible le 7 mai au www.facv.ca). Les 18 et 19 juin a lieu un autre rassemblement d’artistes dont un spectacle fêtant les 35 ans des Foubrac à l’église Notre-Dame de Lourde de 13h30 à 16h.
Valérie Lamirande, artiste verrier est venue nous parler du Circuit Arts et Culture de Verdun. Cette activité aura lieu du 1er au 30 juin 2011, dans l’arrondissement Verdun. Le Centre Wellington sera fortement impliqué durant cette période: il y aura une exposition des oeuvres des impatients du Centre Wellington à l’espace 107. Des artistes peintres et photographes de l’arrondissement Verdun, exposeront au rez-de-chaussé du Centre Wellington. Cette section du centre sera baptisé pour l’occasion «Corrid’art». Laurent de Backer, membre du centre, sera artiste invité dans le Circuit Arts et Cultures de Verdun. Il exposera ses oeuvres chez IKRA. Un vernissage se tiendra Mercredi le 4 juin 2011. Le 3 juin 2011, notre Centre sera le théâtre du vernissage de l’événement : «Impatients» de l’espace 107 et de l’inauguration officiel du : «Corrid’art» en présence des invités d’honneur :M. Roger Sylvain, membre de l’union des artistes et Mme Miriane M., artiste peintre. Le 4 juin aura lieu la grande ouverture qui se passera pendant la vente trottoir sur la rue Wellington en face de l’église Notre-Dame des Sept Douleurs. Un rassemblement d’artistes et d’artisans dont le peintre le plus rapide au monde André Roger à 14h parrainé par Empreinte d’artistes. Les 4,5,11,12 et 18-19 juin aura lieu Art en Direct chez 7 commerçants (un dépliant sera disponible le 7 mai au www.facv.ca). Les 18 et 19 juin a lieu un autre rassemblement d’artistes dont un spectacle fêtant les 35 ans des Foubrac à l’église Notre-Dame de Lourde de 13h30 à 16h.
À Bout De souffle
Par Jancy Bolté
Respire trésor.
Force d’espoir
Pour en arriver là
Le bout de la vie
La mort
Signer, ne pas ressusciter
Il est grandement diminuer.
Après quinze chirurgies et plus de quinze chimiothérapies
Six ans de souffrance et de lutte
Et malgré tout, une certaine joie de vivre.
Que faire, que faire lorsque l’on ne peut rien faire
Rendez-vous au Café,
Après la mort.
Andromède, Beltégueuse, Poissons, Bélier.
L’Univers est trop vaste, pour être compréhensible
À bout de souffle!
Au bout de la vie....
La mort, puisqu’il faut bien mourir de quelque chose
Non , l’être clame, prêche, espère l’éternité
Oh! Mathusalem, des promesses!...
L’espoir permet de vivre, de continuer à vivre
Pendant que son coeur, son sang, s’en va, nous quitte
Sang de mon sang, chair de ma chair
Inerte je ne sens plus rien
La lune est pleine
Nous sommes le 13 juillet ici, le 14 là-bas.
Toujours immuable, 13, 14,
Et trois ans plus tard le 15....
13, 14, 15,
La résignation fait loi....
Coeur de pirate, Sans coeur. Coeur mort.
Coeur posé.
Respire!
Rien à faire, le souffle s’est essoufflé
Nul ne s’en sort
La mort n’est pas la vie.
Mourir à 17 ans !!!!
Mourir à 84 ans...
Il n’y a pas d’âge pour .....
Pour souffrir.... Pour partir, Pour.... s’éteindre,
Comme une bougie, un bâton d’encens, une allumette
Santé mentale, santé physique!
Maelstrom du coeur, du corps, de l’âme,
De la naissance, de l’accouchement,
Santé, oser, donner, vivre...
Enfin l’espoir!! La chaleur, les mots d’amour.
Le bois mort redevient la forêt verte!!
Le printemps est arrivé, la vie reprend ses droits.
Souffle., sans souffle, inertie de la mort
Souffle de vie.. Amen!
Jancy Bolté
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